Si je ne pouvais plus voir ton visage je ne voudrais en voir aucun autre.
Si je ne pouvais plus goûter à ta vertu à quoi me servirait le goût ?
Si je venais à ne plus pouvoir te toucher, je ne voudrais plus rien toucher d'autre.
Si je ne pouvais plus sentir ton odeur, à quoi bon sentir ?
Si je ne pouvais plus entendre le son de ta voix, je perdrais toute notion d'harmonie.
Pour moi, le monde s'éveille lorsque le jour vient chatouiller ton visage
Le monde s'éveille lorsque ton visage s'éclaire à peine
Le monde semble encore timide quand je vois que tu es encore endormi
Le sommeil te détient encore prisonnier, d'une douceur infinie
Tu t'éveilles doucement et ouvre les yeux, c'est ainsi que tu m'entraînes
Dans ce doux abandon, de notre histoire vivre entre les lignes et parcourir chaque page
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